C'est jean Poton de Xaintrailles
le serviteur
Le vaillant soldat.

Dans l'après-midi de février, après une matinée pluvieuse, alors que le soleil tentait de percer les nuages encore abondants , j'ai maintenue une randonnée prévue dans le massif de pins qui borde le département. Première frise du massif Landais.
Accompagné de quelques personnes motivées pour prendre l'air, nous sommes partis sur les sentiers, d'abord un peu glaiseux, glissants aussi.
Puis la forêt nous à happés dans ses mystères.
Nos pas s'enfonçaient dans le sable et le tapis moelleux des feuilles mortes que les vents de l'hiver ont fait danser dans un dernier ballet, léger, tourbillonnant. Si hésitantes quant à la destination à prendre.
Brassées de couleurs ocres, rouilles, presque noires parfois.
Les mousses offraient une parure protectrice, un linceul de verdure, aux troncs et souches culbutées vaincus par le vent, le grand âge.
Affalés pour certains, pêle-mêle aux pieds de leurs frères encore debout, robustes.
Gisants de bois malgré tout encore majestueux.
Le silence paisible de la forêt était seulement interrompu par le doux murmure du vent qui faisait, frissonner les aiguilles des pins, chanter les feuilles de chêne encore présentes sur leurs branches encore endormies.
Les rayons du soleil, filtrés par les ramures, créaient une danse silencieuse d'ombres et de lumières sur le sol.
Une atmosphère mystérieuse nous a enveloppée d'une curieuse sérénité apaisante.
Les pins majestueux se dressaient fièrement autour de nous, Géants paisibles , bienveillants.
Leurs troncs élancés semblant toucher le ciel. Accrochant presque les nuées parfois bien menaçantes.
Nous sommes bien petits et humbles face à cette nature imposante.
Le chant des oiseaux déjà bien présent malgré la précocité de la saison se mêlait aux chants éoliens; une symphonie naturelle.
Portés par le rythme musical, silencieux de la nature, oubliant le temps qui s'écoulait, chaque pas peut être nous rapprochaient un peu plus de cet état de sérénité et de quiétude.
Alors que les ombre de l'après midi commençaient à s'étirer, nous sommes finalement arrivés aux voitures.
Le petit groupe s'anime autour des véhicules. Coffres ouverts sur les changes, portières béantes.
Après une petite collation devenue une tradition et quelques nouveaux échanges, chacun de nous sommes reparti vers l'horizon de nos vies. La parenthèse de cette après midi se referme doucement.
Cette randonnée en forêt de pins en cette après-midi de février restera gravée peut être dans nos mémoires. Dans tous les cas, je pense qu'elle nous a offert un moment d'évasion, de connexion profonde avec la nature et de paix intérieure.
Une expérience simple, mais d'une beauté saisissante, qui nous a rappelé la magie qui se cache dans les petits plaisirs de la vie.

Le vaillant soldat
C'est Jean Poton de Xaintrailles
Le serviteur.

Les allées funéraires:

Dans le sud-ouest de la France, on trouve plusieurs exemples notables d'allées funéraires mégalithiques, tels que l'Allée couverte de la Pierre-Levée à Saint Just, en Charente-Maritime, ou l'Allée couverte de Peyre-Hitère dans les Pyrénées-Atlantiques.

Ces structures étaient construites pendant la période néolithique, entre 4500 et 2000 avant notre ère. Elles étaient utilisées comme lieux de sépulture collective, où les défunts étaient inhumés avec leurs biens et parfois accompagnés de rituels funéraires.

Les allées funéraires mégalithiques du sud-ouest de la France présentent souvent des caractéristiques architecturales uniques, telles que des dalles de pierre finement taillées et des motifs gravés. Elles témoignent de l'ingéniosité et des compétences techniques des communautés préhistoriques qui les ont construites.

Aujourd'hui, ces sites sont des témoignages précieux de notre passé préhistorique et sont souvent ouverts au public, offrant aux visiteurs la possibilité de découvrir et d'apprécier ces monuments fascinants.