Balade en forêt de pins.
La forêt de pins, mystérieuse, calme et sereine, bruisse de mille bruits, musiques.
Elle est un sanctuaire de verdure où chaque souffle de vent raconte des histoires si anciennes et plus présentes aussi.
Les géants paisibles, bienveillants se balancent aux quatre vents, leurs branches s’entrelacent en un ballet presque silencieux.
Les vents chuchotent des histoires oubliées,
Ceux d'ouest racontent l'épopée des marins, ceux plus frais, du nord rapportent des légendes du grand nord, si étranges.
Les vents d'est, si doux, inventent les histoires de la Provence et des pays méditerranéens.
Ceux du sud, après avoir franchi les Pyrénées par dessus les troupeaux, chantent l'Andalousie et parfois les mélopées du continent africain.
Le monde se retrouve dans cette forêt si apaisante. Sanctuaire des histoires gaies, tristes du monde.
Les elfes discrets ont bien du travail avec toutes ces histoires sans en faire toute une histoire.
Les aiguilles de pin forment un tapis moelleux sous les pas des promeneurs discrets.
Dans cette cathédrale naturelle, le temps semble suspendu, et l’on peut presque entendre les murmures des esprits de la forêt.
Une tronçonneuse insensible tranche parfois ces rêves, ces mystères
La forêt de pins, mystérieuse, calme et sereine, bruisse de mille bruits, musiques.
Poucetom©
La forêt mystérieuse.
La forêt des pins, secrets enchevêtrés,
Ses pistes sablonneuses, douces sous les pieds,
Dans l’ombre feutrée, murmures d’antan,
Les mystères s’éveillent, tissant leur chant.
Les aiguilles bruissent, écho du passé,
Les pins se confient, gardiens du temps passé,
Leurs racines profondes, ancrées dans la terre,
Révèlent des légendes, des rêves éphémères.
Le vent chuchote des histoires oubliées,
Les étoiles s’allument, complices de la clarté,
Et dans ce bois sacré, où l’âme se repose,
Les secrets des pins dansent, en douce métamorphose.
La forêt des pins, lumière entre les branches,
Guide nos pas errants, vers l’inconnu qui s’épanche,
Ses pistes sablonneuses, chemins vers l’ailleurs,
Où les mystères se tissent, en un éternel labeur.
Anonyme.